L’une des meilleures décisions que l’on puisse prendre est de partir à l’étranger pour y travailler. Cela vous donne l’occasion de vivre de nouvelles expériences et de découvrir de nouvelles cultures, auxquelles il est vous est impossible d’accéder si vous étiez resté chez vous. Cependant, il est recommandé d’analyser minutieusement la situation sécuritaire dans le pays de destination avant d’effectuer le grand saut.
L’un des pires problèmes de l’humanité étant la violence, de nombreux pays dans le monde sont considérés comme dangereux et violents. Poursuivez la lecture de cet article pour en savoir plus sur les pays du monde les moins sûrs en matière de sécurité.
Le Honduras
C’est un pays qui a quelque chose à offrir à ses visiteurs venant du monde entier. En effet, ces derniers peuvent avoir un aperçu de la vie dans le passé et se rapprocher de certaines des créatures les plus étonnantes de la planète dans cet endroit riche en histoire et en beauté naturelle à couper le souffle. Le pays est un paradis pour la plongée puisqu’il abrite la seconde plus grande barrière de corail sur terre.
Fort malheureusement, les gangs, les crimes et la violence ne cessent de se multiplier au Honduras. Le pays possède l’un des taux de criminalité les plus élevés de la planète. Le risque d’attentat étant élevé, les touristes sont invités à faire preuve de la plus grande prudence.
L’Afghanistan
L’opinion publique internationale s’est de nouveau tourné vers ce pays suite à la prise de Kaboul par les talibans et la proclamation de l’Émirat islamique d’Afghanistan. Le pays traverse l’une des pires crises sociales et humanitaires qui n’aient jamais existé.
L’arrivée des talibans ayant provoqué l’effondrement de l’économie, de nombreux foyers vivent désormais sous des tentes. Depuis l’année 2001 qui a connu l’invasion américaine, l’Afghanistan n’a jamais été aussi dangereux qu’il ne l’est actuellement.
Kaboul, la capitale du pays, est constamment menacée par des attentats terroristes, qui peuvent prendre la forme d’attentats-suicides, d’embuscades et de conflits armés. Ces attaques ciblent les visiteurs étrangers dans certains cas.
La Syrie
Le conflit syrien, à l’origine, a commencé comme une continuation de la campagne du Printemps arabe visant à renverser Bachar el-Assad, l’actuel président du pays. Plusieurs milices sont toujours engagées dans le conflit armé. La persistance de la crise a amené plusieurs réfugiés à demander l’asile en Europe, en Amérique du Nord ainsi que dans d’autres régions du Moyen- Orient.
L’Iran
On note une augmentation de la criminalité de droit commun dans les grandes villes, y compris la capitale du pays. À Téhéran, des ressortissants étrangers ont fait l’objet d’arrestation et de vol par des personnes en civil se faisant passer pour des policiers. Il est fortement conseillé de se méfier des individus qui ne sont pas en mesure de prouver qu’ils appartiennent à une force de police.
Le Mali
Quelle que soit la raison, la décision de voyager au Mali doit être abandonnée. L’ensemble du pays, y compris sa capitale Bamako, est considéré comme se trouvant dans une situation de risque, compte tenu de l’environnement sécuritaire global hautement critique.
Il existe particulièrement un risque élevé d’attaques et d’invasions dans les zones d’intérêt public. Cela pourrait donc nuire aux établissements d’hébergement, aux pubs, aux restaurants et aux événements publics. Enfin, les mercenaires de la société Wagner se sont imposés comme des acteurs clés de la stratégie géopolitique de Moscou en Afrique, notamment au Mali. Le retrait des troupes françaises n’y changera rien.
L’Irak
Ce pays connait une grave crise et ne peut être recommandé comme destination touristique. Selon la situation dans les différentes régions d’Irak, les conditions ne sont pas idéales pour permettre aux gens de rester fixe sans protection adéquate.
Les personnes se trouvant en Irak doivent faire preuve de la plus grande prudence et prendre les dispositions nécessaires pour garantir leur sécurité. De plus, il leur est fortement conseillé d’éviter les rassemblements et de réduire leurs déplacements au sein du pays.